Wiener Rundschau: Jg. 3, Bd. 1, Nr. 12, S. 279
Text
Nach persönlichen Mittheilungen des Künstlers.
Von Ph. ZILCKEN.
II.
»C’est une idée assez répandue parmi le public que les romantiques qu’ils soient
poëtes, peintres ou musiciens, s’affranchissent des règles parce-qu’ils ne les ont
pas apprises
ou sont trop inhabiles pour n’en être pas gênés. Rien de plus faux: les novateurs
ont tous
possedé une science technique profonde. Pour réformer, il faut savoir Le soin rigoureux
de la forme et de la couleur, les difficultés d’architectonique, la nouveauté de détail
qu’ils
s’imposaient demandaient un bien autre travail, que la soumission aux vieilles règles
reconnues
et souvent peu observées.« Th. Gautier (»Notices romantiques«).
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In London schloss Toorop Bekannt- Materielle Erfolge konnte er noch nicht |
Glasmalereien von Burne Jones ge- Grossen Einfluss übte die Lectüre Von London gieng er von Zeit zu |
Zitiervorschlag
Wiener Rundschau: Jg. 3, Bd. 1, Nr. 12, S. 279, in: Wiener Rundschau Digital (1896–1901), herausgegeben vom Austrian Centre for Digital Humanities (ACDH), Wien 2025 (https://acdh-oeaw.github.io/wiener-rundschau-static/WR-03-01-12_n0279.html)